Malgré toutes nos folles aventures, on a abandonné la tenue du blog !
On est bientôt de retour à la maison.
vendredi 29 septembre 2017
samedi 1 juillet 2017
mardi 20 juin 2017
En 3 coups de rames, on y est
Arrivés
chez Décathlon pour acheter deux ou trois malheureuses bouteilles de gaz on
ressort avec un magnifique bateau gonflable de compétition, rien de plus normal.
Maintenant que nous avons cette embarcation entre nos mains nous somme prêt à
affronter les vents et les marais et à traverser l’atlantique en direction des
Ameri……… Non je crois que je
m’emballe un peu ! Commençons par quelque chose à notre portée.
Stationné
sur notre petit promontoire qui domine l’océan, un petit ilot désert de sable
blanc pointe le bout de son né durant les marées basses. Un parfait cap pour la
première navigation de notre tout jeune navire.
Après
une bonne nuit de sommeil nous préparons tout notre attirail de navigation. La
check-liste terminée et le bateau gonflé nous voilà sur l’eau en direction de l’ile
déserte. Petit problème, la marée a déjà bien entamé sa montée l’ile est
toujours là mais pour combien de temps ?
500 mètres nous séparent de notre objectif.
La
première barrière de vague passée nous voilà naviguant paisiblement sur des
eaux relativement calmes. Leïla n’est pas très rassuré l’eau n’est pas son
élément favori. Le temps de prendre un peu mes marques avec les rames et la machine
est lancée !!
Mais
difficile de garder le cap les courants nous embarquent à tribord. Ma camarade
de bord n’est plus très sûr de vouloir continuer l’aventure mais elle surmonte
sa peur avec courage et nous tentons ensemble de maintenir le cap. Malheureusement
nous avons trop tardé dans les préparatifs de l’expédition et l’ile n’est plus,
elle a laissé la place à un enchevêtrement de vagues.
Fatigué
de ramer à contrecourant je ne veux pas abandonner la mission pour autant. L’eau
a recouvert l’ile mais il est toujours possible d’y poser les pieds au moins
pour reprendre un peu de force. Leïla est en panique ! et je pêne à avancer,
chaque moment de relâche nous fait reculer de plusieurs mètres ! Nous faisons
une tentative, Leïla prend son courage à deux mains, saute du navire et sonde
la profondeur pour toucher terre mais rien n’y fait le courant est trop fort et
nous nous éloignons de plus en plus. Elle remonte sur le bateau paniqué.
Tant
pis la mission est avortée. Mais l’expédition ne l’est pas pour autant, notre
navire de fortune valdingue de droite à gauche en quelques secondes nous voilà
déjà loin de l’ile et un bateau de garde côte vient nous voir pour nous avertir
des dangers des courants marins. Je me suis dit à ce moment-là qu’on avait peut-être
fais un peut les cons. Je leur demande donc s’il serait possible de nous rapprocher
de la côte pour nous sortir d’affaire, mais ils nous on rit au nez et nous on
dit que maintenant que nous étions là il fallait que nous nous sortions seul d’affaire,
et ils sont repartis aussi tôt !
Le
danger ne devait donc pas être ci grand et nous avons put regagner une petit
plage déserte non sans efforts.
Pour
regagner notre point de départ nous avons uni nos forces à contrecourant, moi sur
le bateau avec les rames et Leïla dans l’eau avec ses palmes en tant que moteur
240 cv.
Ouf,
sauvé !!
lundi 5 juin 2017
Lisboa avec les copains
Les retrouvailles commencent bien, il y a un
décalage horaire d’une heure au Portugal sauf qu’on n’était pas au courant, ce
qui nous a fait poireauté un bon moment de plus à l’aéroport pour accueillir
les filles !
Ça fait plaisir de revoir Mariette et Cloé toute
contente d’arriver à Lisbonne pour leurs vacances.
Dans la ferveur de ses retrouvailles on s’est un
peu emballé dans notre petit appartement du dernier étage l On entame quelques
bières accompagnées de Luciano et Nestor, les amis argentins de Mariette
maintenant grenoblois. Quelques coups de balais résonnent au plancher,
« notre voisin du dessous » n’apprécie pas autant que nous ce bon
moment passé animé par des combats de luttes des filles. Mais rien de grave un
peu plus de calme et les problèmes de voisinage se sont arrêtés là.
Quelques heures plus tôt, nous prenions au coucher
du soleil, un petit apéritif sur les berges du Tage avec vue sur Lisboa et son
pont de San Francisco bis. Ensuite guidés par Luciano, nous nous sommes perdus
dans une impasse, qui nous ramena finalement par des sentiers détournés et
surprenants sur le droit chemin. Ce labyrinthe de ruines industrielles a bien
failli nous faire revenir sur nos pas non sans compté sur les chocottes de certain(e)s
d’entre nous !
Samedi soir on a pu gouter à la furie nocturne de
Lisboa. Les rues étroites et vallonnés du barrio alto se sont transformées en
piste de dance et bars improvisés fortement ambiancées ! On reconnait bien là
le climat festif d’une ville du sud. Happé par la foule on se retrouve à
déguster des Ginjas « gouleyantes » avant de poursuivre le reste de la nuit
dans les boites jusqu’au lever du jour. Et tout ça pour 10 balles !
Après ce séjour légendaire on restera tous pour
toujours amis pour la vie, grâce à notre bracelet de l’amitié qui nous
liera tous ensemble quoi qu’il arrive jusqu’à la fin des temps de l’univers
entier !
A noté les Pasteis de Nata, pâtisseries typiques de
Lisboa sont d’une suculissance mémorable !
mardi 30 mai 2017
dimanche 28 mai 2017
samedi 27 mai 2017
vendredi 26 mai 2017
Je suis...
Je
suis orange
Je
suis juteuse
Je
suis asiatique
Je
suis petite
Je
suis acidulée
Je
suis bonne
Je
suis …
… une
nèfle du japon (Nispero)
jeudi 25 mai 2017
mercredi 24 mai 2017
mardi 23 mai 2017
dimanche 21 mai 2017
Le plus gros citron de l'univers
Voici le plus gros citron de tout l'univers, avec son généreux poids de 845 grammes ! Ici dans la Huerta Gaia !
samedi 13 mai 2017
dimanche 7 mai 2017
mercredi 3 mai 2017
Encore une fois
Encore une fois.
Non non,
Je crois que ça ne passe pas.
Braque !
Dios mio !
On est bloqué.
Lentement on se retire de ce piège trop
étroit qui nous étouffe
dirigé par des autochtones très aimable
malgré l’intrusion maladroite.
Il faut savoir faire marche arrière quand
on ne peut plus aller de l’avant.
L’entêtement nous mène parfois à la
catastrophe.
Pour toutes les intrusions hâtives dans les ruelles trop étroites de notre parcours.
lundi 1 mai 2017
vendredi 28 avril 2017
jeudi 20 avril 2017
El sur de Valencia
La semana santa a rythmé notre chemin ces derniers
jours.
En partant de la ferme on est repassé par Valencia
pour faire quelques prises de la cité des sciences. Nous sommes passé après par
Bénidorm pour la curiosité de cette ville béton les pieds plongés dans la costa
blanca. Phénoménale ! et plus encore, surpeuplée d’espagnols en vacances
!!
L’envie de fuir nous prend. On rejoint un petit
brin de nature avec rivière & compagnie pour se poser quelques jours.
Sur la suite de notre route on fait la belle
rencontre de Marguerite qui nous a fait vivre pas mal de péripéties.
La ville d’Alicante, nous laissera un souvenir
d’oiseaux !! Il y a des pigeons de toutes les couleurs ! (résultat de
laboratoires, ou simple aléa de la nature ?…affaire à suivre). Aussi
maintenant on sait à quoi ressemble un bébé mouette, c’est comme un poussin
mais en mouette !
Passage obligé chez le dentiste pour Leila. Il ne
faut jamais croquer dans une pizza brulante, ça réveille les nerfs des
dents et ça fait mal !
On est paré à l’attaque des moustiques ; 2
moustiquaires sur mesure taillées à la main d’un homme fort, en aluminium
brossé, haute rigidité, perforations 1 millimètre. Redoutables !
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